Anecdote personnelle : la découverte d’un bon album ne tient parfois pas à grand chose… lI y a 18 mois, sur une plage peu fréquentée d’une île grecque des Cyclades, un retraité américain engage la conversation. Improbable coïncidence, il a vécu à Rennes dans sa jeunesse, ville d’où ces pages sont écrites.
Au cours de cet échange il mentionne qu’un de ses fils vit à Boston et joue dans un groupe du nom de Darlingside.
Un an et demi plus tard, et probablement parce que j’avais tapé le nom dudit groupe à l’époque dans le moteur de recherche de Deezer (qui rime avec Big Brother), le site de streaming me signale la sortie de leur nouvel album… qui s’avère d’excellente facture.
La formule magique de Darlingside est la suivante : folk + harmonies vocales, ou quand Sufjan Stevens invite les Beach Boys en featuring.
Après l’annonce du changement prochain de locataire à la Maison Blanche (si tout va bien, car il résulte de FRAUDES ELECTORALES MASSIVES orchestrées depuis leur cercueil par des leaders COMMUNISTES ETRANGERS et de FAKE NEWS concernant l’existence d’un SOI-DISANT virus qui circulerait dans le pays), on se prend donc à penser qu’une BONNE NOUVELLE des Etats-Unis n’arrive jamais SEULE…
Et on remercie donc Darlingside de contribuer à MAKE AMERICA GREAT AGAIN sur le plan musical par la grâce de leur chansons enchanteresses, telle Ocean bed qu’ils interprètent ici dans le strict respect des gestes barrières…
…et qui est extraite de leur nouvel album Fish pond fish disponible entres autres sur Deezer ou Youtube.