J’ai déjà parlé de Neil Hannon, le cerveau de The Divine Comedy… Après quelques albums salués par la critique (Liberation, Promenade…), l’anglais était progressivement tombé dans une surenchère aux orchestrations pompeuses, oubliant parfois au passage d’écrire de bonnes chansons. La prise de conscience de cette dérive le conduisit à livrer en 2001 un très bel album justement intitulé Regeneration, laissant de coté la grandiloquence passée pour revenir à une écriture plus dépouillée. « Timestretched » est le premier titre de cet album, l’entrée en matière de ce retour aux fondamentaux…